J’ai eu l’honneur de diriger de riches échanges sur l’entreprenariat des femmes

Chères toutes et chers tous,

À l’occasion de la 2è édition des journées de la francophonie économique et numérique sur le thème « les couleurs de l’économie », ce 14 septembre, à Paris, j’ai eu l’honneur de diriger les débats du premier panel qui portait sur les stratégies et plaidoyers pour un accompagnement efficace de l’entrepreneuriat des femmes en vue d’une croissance économique inclusive.

Selon plusieurs rapports internationaux, la prospérité de l’économie mondiale est aujourd’hui entre les mains des femmes. Car une diminution de 50 % des inégalités hommes-femmes pourrait contribuer à une croissance économique mondiale d’environ 12 %.

La Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie, organisme hôte de notre entichant débat, Madame Michaëlle Jean dans son mot introductif avait de fort belle manière rappelé combien l’économie des États de l’espace francophone en Afrique de l’Ouest était dynamique

et affiche en ce moment des constances relativement stables.

Les femmes : « le moteur central de l’économie africaine »

Les femmes « sont le moteur central de l’économie africaine », selon une enquête Ipsos publiée en mai 2017. En effet, lorsqu’on se promène dans une grande ville d’Afrique francophone, un premier constat saute aux yeux : la prédominance des femmes dans le commerce de produits et ser

vices en tous genres.

Mais cette réalité en masque une autre : les entreprises détenues par des femmes comptent en moyenne moins d’employés, engrangent moins de recettes et de bénéfices, ont une productivité plus faible.

Encore de nombreux obstacles à la création d’entreprise

J’ai rappelé que le premier obstacle concerne les inégalités de scolarisation entre l

es filles et les garçons. Le deuxième frein réside dans leur accès plus limité aux capitaux et aux actifs, aux moyens financiers dont elles ne peuvent souvent bénéficier que par l’intermédiaire de leur époux.

Madame Habiba Ben Barka en charge des affaires économiques à la commission économique des nations unies pour l’Afrique a pour sa part, au chapitre des contraintes, évoqué entre autres les instabilités politiques qui fragilisent surtout les femmes, l’enseignement classique ou professionnel, les freins économiques indiqués supra et les pesanteurs socio culturelles qui inhibent les femmes. Pour la directrice adjointe de SENAR Délices Lysa, une entreprise familiale qui commercialise des arachides et des noix de cajou, Sylvie Sagbo Gommard évoque les difficultés qu’elle rencontre pour obtenir des financements. « J’ai essayé deux années de suite d’avoir un crédit de campagne pour acheter des noix de cajou ».

Une certitude cependant : l’Afrique francophone regorge de femmes entrepreneurs portant des projets ambitieux et dont le potentiel pourrait être libéré grâce à des actions relativement simples, avec à la clé, la possibilité de transformer le continent tout entier.

 

 

Des pistes efficaces existent

Il s’agit notamment de la digitalisation des corridors commerciaux et économiques ainsi que le réseautage qui favorisent tous deux l’accès au marché.

Au total, la suppression des obstacles tels que les lois discriminatoires en matière de propriété et d’héritage, les lois coutumières, la levée des barrières d’accès aux institutions financières formelles, et la prise en compte dans les politiques publiques des contraintes de disponibilité dues aux responsabilités familiales et domestiques, pourraient offrir davantage de possibilités de croissance qualitative aux entreprises durables dirigées par des femmes. Cela contribuerait ainsi à l’autonomisation, l’épanouissement des femmes et l’égalité des sexes ainsi qu’à la création d’emplois et l’accélération de la transformation structurelle de nos pays.

Le Projet « Ladies First » (Les femmes d’abord), exposé par Patience Barandengue, qui entre autre met un accent important sur les compétences managériales des femmes, et que je vous invite à découvrir sur le site web de la Rawbank, est d’une originalité qui m’a convaincue à le retenir pour une étude de cas au sein de votre Think & Do thank Team RM, tellement ce projet pourrait inspirer tant de jeunes femmes.

À bientôt donc sur les canaux de la Team RM, votre laboratoire des idées et actions innovantes.

Et mesdames, n’oubliez jamais de foncer, de vous imposer, de rester enthousiastes, toujours fidèles à votre trajectoire quoique l’on dise de vous! Plus l’on parlera de vous -que cela soit en bien ou en mal- plus vous devrez avoir la certitude que vous valez beaucoup. Un adage africain ne dit-il pas que l’on ne jette la pierre qu’à l’arbre qui porte des fruits? Always grateful to God

  

J’ai eu l’honneur de diriger de riches échanges sur l’entreprenariat des femmes

Chères toutes et chers tous,

À l’occasion de la 2è édition des journées de la francophonie économique et numérique sur le thème « les couleurs de l’économie », ce 14 septembre, à Paris, j’ai eu l’honneur de diriger les débats du premier panel qui portait sur les stratégies et plaidoyers pour un accompagnement efficace de l’entrepreneuriat des femmes en vue d’une croissance économique inclusive.

Selon plusieurs rapports internationaux, la prospérité de l’économie mondiale est aujourd’hui entre les mains des femmes. Car une diminution de 50 % des inégalités hommes-femmes pourrait contribuer à une croissance économique mondiale d’environ 12 %.

La Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie, organisme hôte de notre entichant débat, Madame Michaëlle Jean dans son mot introductif avait de fort belle manière rappelé combien l’économie des États de l’espace francophone en Afrique de l’Ouest était dynamique

et affiche en ce moment des constances relativement stables.

Les femmes : « le moteur central de l’économie africaine »

Les femmes « sont le moteur central de l’économie africaine », selon une enquête Ipsos publiée en mai 2017. En effet, lorsqu’on se promène dans une grande ville d’Afrique francophone, un premier constat saute aux yeux : la prédominance des femmes dans le commerce de produits et ser

vices en tous genres.

Mais cette réalité en masque une autre : les entreprises détenues par des femmes comptent en moyenne moins d’employés, engrangent moins de recettes et de bénéfices, ont une productivité plus faible.

Encore de nombreux obstacles à la création d’entreprise

J’ai rappelé que le premier obstacle concerne les inégalités de scolarisation entre l

es filles et les garçons. Le deuxième frein réside dans leur accès plus limité aux capitaux et aux actifs, aux moyens financiers dont elles ne peuvent souvent bénéficier que par l’intermédiaire de leur époux.

Madame Habiba Ben Barka en charge des affaires économiques à la commission économique des nations unies pour l’Afrique a pour sa part, au chapitre des contraintes, évoqué entre autres les instabilités politiques qui fragilisent surtout les femmes, l’enseignement classique ou professionnel, les freins économiques indiqués supra et les pesanteurs socio culturelles qui inhibent les femmes. Pour la directrice adjointe de SENAR Délices Lysa, une entreprise familiale qui commercialise des arachides et des noix de cajou, Sylvie Sagbo Gommard évoque les difficultés qu’elle rencontre pour obtenir des financements. « J’ai essayé deux années de suite d’avoir un crédit de campagne pour acheter des noix de cajou ».

Une certitude cependant : l’Afrique francophone regorge de femmes entrepreneurs portant des projets ambitieux et dont le potentiel pourrait être libéré grâce à des actions relativement simples, avec à la clé, la possibilité de transformer le continent tout entier.

 

 

Des pistes efficaces existent

Il s’agit notamment de la digitalisation des corridors commerciaux et économiques ainsi que le réseautage qui favorisent tous deux l’accès au marché.

Au total, la suppression des obstacles tels que les lois discriminatoires en matière de propriété et d’héritage, les lois coutumières, la levée des barrières d’accès aux institutions financières formelles, et la prise en compte dans les politiques publiques des contraintes de disponibilité dues aux responsabilités familiales et domestiques, pourraient offrir davantage de possibilités de croissance qualitative aux entreprises durables dirigées par des femmes. Cela contribuerait ainsi à l’autonomisation, l’épanouissement des femmes et l’égalité des sexes ainsi qu’à la création d’emplois et l’accélération de la transformation structurelle de nos pays.

Le Projet « Ladies First » (Les femmes d’abord), exposé par Patience Barandengue, qui entre autre met un accent important sur les compétences managériales des femmes, et que je vous invite à découvrir sur le site web de la Rawbank, est d’une originalité qui m’a convaincue à le retenir pour une étude de cas au sein de votre Think & Do thank Team RM, tellement ce projet pourrait inspirer tant de jeunes femmes.

À bientôt donc sur les canaux de la Team RM, votre laboratoire des idées et actions innovantes.

Et mesdames, n’oubliez jamais de foncer, de vous imposer, de rester enthousiastes, toujours fidèles à votre trajectoire quoique l’on dise de vous! Plus l’on parlera de vous -que cela soit en bien ou en mal- plus vous devrez avoir la certitude que vous valez beaucoup. Un adage africain ne dit-il pas que l’on ne jette la pierre qu’à l’arbre qui porte des fruits? Always grateful to God

  

J’ai eu l’honneur de diriger de riches échanges sur l’entreprenariat des femmes

Chères toutes et chers tous,

À l’occasion de la 2è édition des journées de la francophonie économique et numérique sur le thème « les couleurs de l’économie », ce 14 septembre, à Paris, j’ai eu l’honneur de diriger les débats du premier panel qui portait sur les stratégies et plaidoyers pour un accompagnement efficace de l’entrepreneuriat des femmes en vue d’une croissance économique inclusive.

Selon plusieurs rapports internationaux, la prospérité de l’économie mondiale est aujourd’hui entre les mains des femmes. Car une diminution de 50 % des inégalités hommes-femmes pourrait contribuer à une croissance économique mondiale d’environ 12 %.

La Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie, organisme hôte de notre entichant débat, Madame Michaëlle Jean dans son mot introductif avait de fort belle manière rappelé combien l’économie des États de l’espace francophone en Afrique de l’Ouest était dynamique

et affiche en ce moment des constances relativement stables.

Les femmes : « le moteur central de l’économie africaine »

Les femmes « sont le moteur central de l’économie africaine », selon une enquête Ipsos publiée en mai 2017. En effet, lorsqu’on se promène dans une grande ville d’Afrique francophone, un premier constat saute aux yeux : la prédominance des femmes dans le commerce de produits et ser

vices en tous genres.

Mais cette réalité en masque une autre : les entreprises détenues par des femmes comptent en moyenne moins d’employés, engrangent moins de recettes et de bénéfices, ont une productivité plus faible.

Encore de nombreux obstacles à la création d’entreprise

J’ai rappelé que le premier obstacle concerne les inégalités de scolarisation entre l

es filles et les garçons. Le deuxième frein réside dans leur accès plus limité aux capitaux et aux actifs, aux moyens financiers dont elles ne peuvent souvent bénéficier que par l’intermédiaire de leur époux.

Madame Habiba Ben Barka en charge des affaires économiques à la commission économique des nations unies pour l’Afrique a pour sa part, au chapitre des contraintes, évoqué entre autres les instabilités politiques qui fragilisent surtout les femmes, l’enseignement classique ou professionnel, les freins économiques indiqués supra et les pesanteurs socio culturelles qui inhibent les femmes. Pour la directrice adjointe de SENAR Délices Lysa, une entreprise familiale qui commercialise des arachides et des noix de cajou, Sylvie Sagbo Gommard évoque les difficultés qu’elle rencontre pour obtenir des financements. « J’ai essayé deux années de suite d’avoir un crédit de campagne pour acheter des noix de cajou ».

Une certitude cependant : l’Afrique francophone regorge de femmes entrepreneurs portant des projets ambitieux et dont le potentiel pourrait être libéré grâce à des actions relativement simples, avec à la clé, la possibilité de transformer le continent tout entier.

 

 

Des pistes efficaces existent

Il s’agit notamment de la digitalisation des corridors commerciaux et économiques ainsi que le réseautage qui favorisent tous deux l’accès au marché.

Au total, la suppression des obstacles tels que les lois discriminatoires en matière de propriété et d’héritage, les lois coutumières, la levée des barrières d’accès aux institutions financières formelles, et la prise en compte dans les politiques publiques des contraintes de disponibilité dues aux responsabilités familiales et domestiques, pourraient offrir davantage de possibilités de croissance qualitative aux entreprises durables dirigées par des femmes. Cela contribuerait ainsi à l’autonomisation, l’épanouissement des femmes et l’égalité des sexes ainsi qu’à la création d’emplois et l’accélération de la transformation structurelle de nos pays.

Le Projet « Ladies First » (Les femmes d’abord), exposé par Patience Barandengue, qui entre autre met un accent important sur les compétences managériales des femmes, et que je vous invite à découvrir sur le site web de la Rawbank, est d’une originalité qui m’a convaincue à le retenir pour une étude de cas au sein de votre Think & Do thank Team RM, tellement ce projet pourrait inspirer tant de jeunes femmes.

À bientôt donc sur les canaux de la Team RM, votre laboratoire des idées et actions innovantes.

Et mesdames, n’oubliez jamais de foncer, de vous imposer, de rester enthousiastes, toujours fidèles à votre trajectoire quoique l’on dise de vous! Plus l’on parlera de vous -que cela soit en bien ou en mal- plus vous devrez avoir la certitude que vous valez beaucoup. Un adage africain ne dit-il pas que l’on ne jette la pierre qu’à l’arbre qui porte des fruits? Always grateful to God

  

J’ai eu l’honneur de diriger de riches échanges sur l’entreprenariat des femmes

Chères toutes et chers tous,

À l’occasion de la 2è édition des journées de la francophonie économique et numérique sur le thème « les couleurs de l’économie », ce 14 septembre, à Paris, j’ai eu l’honneur de diriger les débats du premier panel qui portait sur les stratégies et plaidoyers pour un accompagnement efficace de l’entrepreneuriat des femmes en vue d’une croissance économique inclusive.

Selon plusieurs rapports internationaux, la prospérité de l’économie mondiale est aujourd’hui entre les mains des femmes. Car une diminution de 50 % des inégalités hommes-femmes pourrait contribuer à une croissance économique mondiale d’environ 12 %.

La Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie, organisme hôte de notre entichant débat, Madame Michaëlle Jean dans son mot introductif avait de fort belle manière rappelé combien l’économie des États de l’espace francophone en Afrique de l’Ouest était dynamique

et affiche en ce moment des constances relativement stables.

Les femmes : « le moteur central de l’économie africaine »

Les femmes « sont le moteur central de l’économie africaine », selon une enquête Ipsos publiée en mai 2017. En effet, lorsqu’on se promène dans une grande ville d’Afrique francophone, un premier constat saute aux yeux : la prédominance des femmes dans le commerce de produits et ser

vices en tous genres.

Mais cette réalité en masque une autre : les entreprises détenues par des femmes comptent en moyenne moins d’employés, engrangent moins de recettes et de bénéfices, ont une productivité plus faible.

Encore de nombreux obstacles à la création d’entreprise

J’ai rappelé que le premier obstacle concerne les inégalités de scolarisation entre l

es filles et les garçons. Le deuxième frein réside dans leur accès plus limité aux capitaux et aux actifs, aux moyens financiers dont elles ne peuvent souvent bénéficier que par l’intermédiaire de leur époux.

Madame Habiba Ben Barka en charge des affaires économiques à la commission économique des nations unies pour l’Afrique a pour sa part, au chapitre des contraintes, évoqué entre autres les instabilités politiques qui fragilisent surtout les femmes, l’enseignement classique ou professionnel, les freins économiques indiqués supra et les pesanteurs socio culturelles qui inhibent les femmes. Pour la directrice adjointe de SENAR Délices Lysa, une entreprise familiale qui commercialise des arachides et des noix de cajou, Sylvie Sagbo Gommard évoque les difficultés qu’elle rencontre pour obtenir des financements. « J’ai essayé deux années de suite d’avoir un crédit de campagne pour acheter des noix de cajou ».

Une certitude cependant : l’Afrique francophone regorge de femmes entrepreneurs portant des projets ambitieux et dont le potentiel pourrait être libéré grâce à des actions relativement simples, avec à la clé, la possibilité de transformer le continent tout entier.

 

 

Des pistes efficaces existent

Il s’agit notamment de la digitalisation des corridors commerciaux et économiques ainsi que le réseautage qui favorisent tous deux l’accès au marché.

Au total, la suppression des obstacles tels que les lois discriminatoires en matière de propriété et d’héritage, les lois coutumières, la levée des barrières d’accès aux institutions financières formelles, et la prise en compte dans les politiques publiques des contraintes de disponibilité dues aux responsabilités familiales et domestiques, pourraient offrir davantage de possibilités de croissance qualitative aux entreprises durables dirigées par des femmes. Cela contribuerait ainsi à l’autonomisation, l’épanouissement des femmes et l’égalité des sexes ainsi qu’à la création d’emplois et l’accélération de la transformation structurelle de nos pays.

Le Projet « Ladies First » (Les femmes d’abord), exposé par Patience Barandengue, qui entre autre met un accent important sur les compétences managériales des femmes, et que je vous invite à découvrir sur le site web de la Rawbank, est d’une originalité qui m’a convaincue à le retenir pour une étude de cas au sein de votre Think & Do thank Team RM, tellement ce projet pourrait inspirer tant de jeunes femmes.

À bientôt donc sur les canaux de la Team RM, votre laboratoire des idées et actions innovantes.

Et mesdames, n’oubliez jamais de foncer, de vous imposer, de rester enthousiastes, toujours fidèles à votre trajectoire quoique l’on dise de vous! Plus l’on parlera de vous -que cela soit en bien ou en mal- plus vous devrez avoir la certitude que vous valez beaucoup. Un adage africain ne dit-il pas que l’on ne jette la pierre qu’à l’arbre qui porte des fruits? Always grateful to God